Laurent Geninasca lors de la pose de la première pierre - clip - 56 sec.

À priori, c'est plus facile de réfléchir à un bâtiment dans un contexte donné. Parce que les contraintes sont là. Alors que quand on est dans une plaine comme ça, ouverte, ben les contraintes elles n'existent pas comme ça a priori. En revanche après, il faut se fixer des contraintes. Et puis les contraintes, elles sont de deux ordres: c'est d'une part évidemment quand on parle d'un projet hospitalier, on parle d'un projet qui en termes de fonctionnalités doit être parfait. C'est une forme de mécanique qui doit jouer parfaitement. Et puis après, il fallait se fixer des critères par rapport à cette situation. Qui n'en est pas vraiment une. Il y a la question du bruit. Il y a un problème. Puisqu'on est à côté de l'autoroute. Comment on se protège du bruit? Ensuite dans un lieu qui est un peu industriel. Qui n'a pas de caractéristiques particulières. De quoi veut-on profiter quand on est hospitalisé ? On s'est dit ben là c'est le paysage lointain c'est la montagne. Donc c'est un peu ce double jeu entre la mécanique hospitalière et puis le rapport au paysage. Intéressant. Qui n'est pas celui qui est proche. Mais celui qui est plus lointain.