Pascal Rubin lors de la pose de la première pierre - clip - 2 min.

Laurent Bonnard : Pascal Rubin, c'est quand même un très bon moment, franchement? Vous l'attendiez depuis longtemps ce moment ? Pascal Rubin : Alors, on y croyait plus. C'est un moment dans notre histoire. Ben, historique. Puisque cette première pierre c'est vraiment le début du chantier. Ça fait pas mal d'années qu'on travaille sur ce projet. On espère que le chantier démarre, qu'il ne s'arrête plus. Et puis que dans trois ans on puisse inaugurer. Il y a encore pas mal d'obstacles sur la partie de la construction. Mais on espère qu'on va les lever les uns après les autres. Laurent Bonnard : Alors justement, je voulais parler des obstacles à venir. Et les principaux obstacles à venir, on les voit ? Pascal Rubin : Ben on les voit, on les devine. On annonce aujourd'hui le lancement du deuxième lot. Sur la partie de béton. On espère toujours qu'il n'y ait pas de recours. Qu'on puisse commencer le deuxième lot. Entre-temps le tribunal fédéral doit nous donner une réponse. Qui nous permette - suivant la décision - de prendre les mesures nécessaires. De choisir l'entreprise générale et de continuer. Donc ça, c'est les obstacles du côté construction. N'oublions pas le reste. Il y a toute l'organisation de l'hôpital à mettre en place. Et là en principe, on doit être prêt.