Marc Etienne Diserens lors de la pose de la première pierre - clip - 1 min.

Laurent Bonnard : Marc Diserens, c'est quand même un super bon moment, aujourd'hui ? Et historique, en fait ? Marc Diserens : Alors un moment historique, certes. Un parmi d'autres. Parce qu'il y a eu d'autres grands moments. Celui de l'adoption de la convention intercantonale. Hein, j'entends en 2009. C'était un moment très important. Mais là, on concrétise. On montre que malgré les difficultés, le marché public, les recours, le tribunal cantonal, le tribunal fédéral. Les choses peuvent continuer... peuvent avancer. Laurent Bonnard : Une étape historique aujourd'hui. Il y a une autre étape? Vous signaliez 2009. Est-ce qu'il y a une autre étape qui vous a impressionné dans votre parcours? Marc Diserens : Alors une autre étape qui m'a impressionné dans mon parcours, c’est le tout début de l'histoire. C'est le moment où on dit aux régions, vous n'aurez pas un nouvel hôpital, un pour la Riviera, un pour le Chablais. On dit: il n'y en aura qu'un seul. Et que on réunit les gens pour leur dire ça. Et leur dire: maintenant on travaille; choisissons l'endroit. Les gens ont montré là pas mal de mauvaise humeur, mais très vite ont réussi à se fédérer et faire le choix du terrain sur lequel on est aujourd'hui.