Karl Halter lors de la pose de la première pierre - clip - 1 min 30.

C'est ça qu'il faut se rendre compte aujourd'hui. C'est que le développement de la région est quand même extraordinaire. On a un déplacement du côté Riviera qui vient du côté Chablais. On est à l'entrée du Chablais, ici. Et c'est certainement là que les développements vont se faire. Au premier abord, quand les gens n'arrivent plus à se loger sur la partie Riviera. Ce qui est bien évidemment le cas. Aussi au niveau des prix de logements qu’il y a, c’est que ça va se déplacer ici. Donc on a l'impression qu'il n'y a pas grand-chose aujourd'hui. Mais il y a tellement de projets qui ne sont pas aujourd'hui directement liés à l’hôpital, mais qui sont aujourd'hui planifiés autour de cette région-là, qu'on voit finalement le potentiel de cette région qu’il y aura, d’une part. Et d'autre part, le choix du site lui-même, a pris bien évidemment ce genre de choses en considération. Et puis je le répète assez souvent pour qui veut l'entendre: mettre un hôpital comme ça à quelque deux kilomètres d'une gare CFF, c’est quand même relativement proche. Le CHUV était bien plus loin à l'époque. D'autres hôpitaux ont de la peine à trouver ça. On est à quelques centaines de mètres d'une sortie d'autoroute pour les véhicules privés. Donc on est à mon avis relativement bien desservi. Que ce soit en public ou en privé. Et puis on est véritablement dans une zone qui nous permet aussi de développer un projet de cette taille-là. Ce qu'il faut voir c'est que c'est pas non plus évident de trouver des terrains qui peuvent accueillir un projet de cette taille là. Avec les problématiques qu'il y a dans les alentours. On peut difficilement se mettre dans un cadre trop urbain. On a pas envie non plus d’être trop à la campagne. Donc on est bien, ici, au milieu de tout ça.