Transcription
Pour Rennaz en fait, on a l'obligation de présenter un plan de mobilité. On a l'obligation de répondre à des normes fédérales, qui s'appellent les normes VSS. Ce sont des recommandations. Et en fait pour obtenir le permis de construire, il faut que l'on suive ces recommandations. Donc le nombre de places de parc qui a été prévu à Rennaz, c’est un nombre de places de parc dicté par ces normes VSS qui tiennent compte de l'activité du bâtiment, du nombre de collaborateurs, de la desserte, etc. Donc le nombre de places de parc est différent si c'est un hôpital, si c'est un centre commercial ou si c'est une habitation privée. Donc le nombre de places de parc, on n'y échappe pas. C’est un respect que l'on doit avoir de ces normes. Et la présentation du plan de mobilité, en fait, cette obligation est inscrite dans la convention intercantonale. Et on a l'obligation de présenter un plan de mobilité pour Rennaz. Donc ça c'était l'objectif d'aller, de préparer ce plan pour Rennaz. Mais la direction générale a choisi d'anticiper et de faire un plan de mobilité déjà sur les sites existants. Oui, pour préparer les collaborateurs a changer leurs habitudes. Mais c'est surtout parce que nos parkings sont saturés. Parce que les collaborateurs ne peuvent plus se parquer. Mais surtout parce que les patients et les visiteurs n'arrivent plus à se parquer. Parce que sur la plupart des sites c'est des parkings mixtes: collaborateurs-visiteurs. Et les parkings sont pleins de collaborateurs et les patients n'arrivent pas à accéder à nos sites. Et ça, en termes d'accueil du patient, ce n'est juste plus acceptable. Donc c'est cette raison-là, la première, qui fait que le plan de mobilité démarre ces prochaines semaines. C'est de pouvoir mieux accueillir nos patients.
